Merci à Joaquim Martins pour cette belle soirée.
La présentation de son livre No seminário maior a été l’occasion de nous faire découvrir (rappeler aux aînés) les contradictions de la société portugaise dans les années 60 entre immobilisme, répression et, malgré le contexte, effervescence d’idées nouvelles et d’expériences sociales.
Encore une démonstration qui, même dans des conditions difficiles, « il n’y a pas de hache qui coupe la racine à la pensée », «não há machado que corte a raiz ao pensamento».
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